Terma 24 Le Bus Du Souk Et Le Nouvel Amant De Ma Femme
Après nos vacances, ma femme et moi, à létranger, nos relations sexuelles se sont nettement améliorées. Ma femme, ayant eu sa totale liberté de ma part et affamée de sexe dans un environnement érotique libre, sest donnée à fond. Elle a eu deux amants, pour sa chatte et sa terma, le premier un jeune marchand de légumes Algérien et lautre un black dont la bite était formidable. Chaque après-midi, pendant des heures, elle se faisait baiser et sodomiser dans leurs baraquements.
Jai été un voyeur permanent et en cachette des frasques de ma femme, de ses performances et de ses cris de plaisir. De plus, mon observation, de ma petite cachette, des grosses bites de ses amants en action mont totalement excités, emballés sexuellement que je me suis découvert désirant des sodomies pour moi-même. Alors, je nai pas hésité et jai réussi à me faire plaisir avec chacun des deux hommes, comme ma femme et sans quelle le sache. Jai été dépucelé puis rassasié de bites jeunes, dures et infatigables. Nous nous sommes fait plaisir durant tout notre séjour.
A notre retour au pays, nos relations sexuelles sont devenues normales. Je baisais presque chaque nuit ma femme mais parfois avec moins de réussite en vigueur et en sperme. Elle ma même permis de la sodomiser plusieurs fois, ce que je réussissais mieux car sa terma maffolait plus que sa chatte. Mais, malgré ma bonne volonté, je narrivais pas à satisfaire tous les besoins de ma femme car elle était insatiable depuis notre retour. Il fallait quelle trouve un autre amant plus performant, mais chez nous, cétais une mission difficile et dangereuse mais pas impossible.
La première occasion, ce fut lors de notre départ, un mardi, vers le souk hebdomadaire de la ville. Dans le bus archi bondé, nous étions serrés et je métais placé dans le dos de ma femme. Mon ventre était contre elle et mon bas ventre collé à son gros derrière. Elle avait son habit traditionnel et le visage à moitié caché par son voile.
En observant les voyageurs, justement, jai remarqué un homme qui sintéressait, par ses regards discrets mais répétés, à ma femme. Il devait avoir la cinquantaine, son visage à la barbe mal rasée de plusieurs jours semblait viril et volontaire. Il était habillé dune gandoura large par dessus sa chemise ouverte au col et de son gilet et un chèche couvrait sa tête. Jai pensé quil ressemblait aux éleveurs ou marchants de moutons et qui allait au marché pour lachat éventuel de quelques bêtes.
Pour lexciter encore plus, je me suis collé à fond sur le derrière de ma femme et jai continué plusieurs fois, quelques mouvements et gestes appuyés sur ses fesses. Et effectivement, jai constaté que lhomme mavait remarqué car, lorsque nos regards se sont croisés, il ma adressé un clin dil complice. Je savais ainsi que javais piégé le futur amant de ma femme, si je savais y faire.
Alors, jai répondu à son clin dil et jai continué à me frotter sur le cul de ma femme lui soufflant à loreille que cetait à cause du bus qui tanguait. Ensuite, jai trouvé loccasion pour me séparer delle un peu plus loin. Et ce que je pensais arriva immédiatement. Lhomme sest progressivement avancé dans la foule pour prendre ma place contre le cul de ma femme.
Tout en restant assez discret, Je voyais quil le faisait avec insistance. Comme je lobservais, javais constaté quil donnait de légers coups de son ventre contre le derrière de ma femme. Son insistance étant assez poussée, ma femme sest retournée vers lui et, constatant que ce nétait pas moi, elle lui a lancé, discrètement, quelques mots, certainement pas aimables.
Ensuite, elle ma cherché du regard, mais je lui ai souri légèrement de loin puis je lui ai fait de la bouche et de la main, le geste de rester tranquille et patiente, alors elle na pas bougé.
Pendant plusieurs minutes, lhomme continua à se coller au derrière de ma femme et à lui faire sentir nettement, par ses légers mouvements du bas ventre, quil désirait sa terma pour son zob. Un moment, jai vu lhomme se pencher légèrement sur ma femme pour lui souffler quelque chose à loreille. Elle sest aussi retournée vers lui pour lui répondre, mais ses yeux, au dessus de son voile, ne me semblaient pas courroucés. Jétais donc sur que, ayant eu mon accord, elle savourait cette bite qui se frottait contre son cul. La connaissant bien, jétais certain que sa chatte devait déjà mouiller à fond et que sa terma palpiter de désir. On a continué ainsi jusquau souk.
Dés sa descente du bus, elle ma rejoint et ma confirmé que lhomme se collait de la bite à son derrière et quelle lui avait demandé, en vain, de séloigner et quelle laurait giflé si elle navait craint le scandale pour moi. Je lai félicité de sa sagesse, mais je lui ai demandé, doucement en me penchant sur elle, si les pressions de lhomme ne lavaient pas excitée. Elle ma avoué, en riant des yeux, quil lavait chauffé à fond. Jai insisté pour savoir si elle avait bien senti la bite de lhomme. Alors, sans hésiter, elle ma avoué que la bite de lhomme semblait grosse et dure à son contact et quelle lui piquait tellement le derrière quune partie sétait un peu enfoncée entre ses fesses malgré leurs vêtements. Pour la rassurer sur mes intentions, jai préféré rire et plaisanter sur ce malheureux.
Donc jen conclus quelle était à point pour se faire baiser et sodomiser par cette bite qui lui plaisait déjà par le contact vestimentaire. Jétais très excité et il fallait trouver le moyen de lui faire rencontrer cet homme, alors jai échafaudé immédiatement un plan.
Alors, je lui ai conseillé de continuer seule pour ses achats, puis je lui ai remis de largent et je suis retourné vers les bus. Un peu plus loin, je suis revenu sur mes pas et jai constaté, comme prévu, que lhomme à repris ma place à coté de ma femme. Ils marchaient et discutaient fermement et lhomme lui a tenu le bras et lui souriait. Puis je lai vu fouiller sous sa gandourah et sortir des billets dargent. Il venait certainement de lui proposer de largent pour la baiser. Et, à ma surprise, elle a attrapé les billets et les a mis prestement dans son sac. Ma femme venait daccepter de faire la prostituée avec cet homme. Mais comment vont-ils faire !
Je les ai suivis pendant plus dune heure dans la foule, en restant assez éloigné. Ils ont acheté pas de mal de choses, et cétait ma femme qui choisissait. Lhomme ne faisait que la suivre, mais lorsquelle restait debout ou se penchait pour choisir, lhomme se plaçait un peu contre son derrière, comme pour avoir une avance des sensations contre sa terma. Elle ne faisait aucun geste pour éviter son coup de pousse, car elle devait, elle aussi, être excitée. Lhomme était à fond et si ce nétait la foule, il aurait violé ma femme.
Moi-même, excité par leurs gestes érotiques et leurs désirs si transparents, je bandais à fond. Enfin, ayant terminé leurs achats, ils sont revenus vers les bus. Ils se sont assis cote à cote comme mari et femme et le bus sest éloigné. Jai attendu quelques minutes puis jai pris un taxi et ordonné au chauffeur de rattr le bus et de le suivre. Et pour le convaincre, je lui ai glissé un billet assez consistant.
Enfin, à un arrêt, ma femme et lhomme sont descendus. Je les ai laissé séloigner un peu, puis je les ai suivis à pieds. Après quelques ruelles, ils se sont arrêtés devant la devanture dun magasin fermé. Ils ont un peu discuté puis lhomme est parti seul, laissant ma femme avec ses achats devant la devanture. Cinq minutes plus tard, il revenait puis ouvrait le magasin où ils ont pénétré tous les deux, puis il a fermé la devanture. Javais compris quil allait baiser ma femme à lintérieur de son magasin, en toute sécurité et discrétion.
Je bandais fermement et lenvie de me masturber ma envahie, mais dans la rue cétait dangereux. Je me suis quant même touché directement la bite et comme elle était chaude, brulante je lai fortement serrée et soudain, jai éjaculé dans mon slip et mon pantalon. Assis par terre, contre le mur, jai attendu que les spasmes de ma bite se sont calment. Jai jeté par terre le sperme qui remplissait ma main et essuyé ma bite, au mieux avec mon mouchoir tout en surveillant la rue, heureusement déserte.
Ensuite, je suis resté pas très loin, pendant presquune heure à attendre, mais ma femme était toujours en train de se faire ramoner la chatte et le cul dans le magasin. Alors, je me suis éloigné définitivement, puis jai pris un taxi pour rentrer chez nous. Deux heures plus tard, ma femme est rentrée avec dans son visage la plénitude de la femme comblée.
Pour la sonder, je lui fais remarquer que son visage éclatait de joie et il m répondu, sans cessé de sourire, que cest parce quelle avait acheté toutes ses affaires et trouvé au souk tout ce dont elle avait besoin. Jai pensé quelle avait effectivement trouvé tout les besoins sexuels quelle désirait depuis plusieurs jours. Puis elle ma montré ses achats qui dépassaient largent que je lui ai donné. Elle parlait déconomie et de bons choix mais, javais compris quelle avait aussi utilisé largent de son amant. Mais jai préféré me taire et seulement la féliciter davoir bien acheté ce quil fallait.
Le mardi suivant, jour de souk, elle mavais affirmé quelle avait dautres achats à faire et que si je ne pouvais pas laccompagner, elle pouvait y aller seule, elle savait se débrouiller maintenant. Tu parles, javais compris quelle avait besoin de son amant, sa chatte et sa terma devaient la chatouiller. Hypocrite et excité, je lui ai répondu que ça marranger car javais des copains à voir, puis je lui ai donné de largent, quelle na même pas négocié, et je suis sorti.
Mais, jai pris un taxi pour aller me pointer pas très loin du magasin de son amant. Il était déjà la, devant son magasin entrouvert et attendait ma femme qui a du certainement lappeler par téléphone. Un quart dheure plus tard, ma femme est arrivée et immédiatement ils ont pénétré dans le magasin en refermant la porte. Jéxcité et je bandais sachant ce quils allaient faire. Je mimaginais déjà que la bite de lhomme était en train de fouiller la chatte brulante de ma femme qui coulait de désir. Jai osé me rapprocher du magasin et jai mon orielle à la devanture.
En effet, jentendais les cris de plaisir de ma femme et les hans sourds et haletants de lhomme qui pilonnait la chatte brulante de désir. Je suis resté un long moment à écouter car la rue était déserte et ma bite bandait à me faire mal. Soudain jai entendu ma femme presque hurler et lhomme souffler fort. Je ne sais pas si cest ma femme qui vient davoir un fort orgasme ou si cest lhomme qui vien déjaculer en puissance son sperme.
Jétais épuisé et ma bite semblait sur le point déjaculer aussi. Alors je me suis éloigné et dans un coin, assis contre le mur, jai discretement sorti ma bite et en la secouant, jai éjaculé avec satisfaction par terre. Après avoir éssuyé ma bite avec mon mouchoir, je lai remise dans mon slip et je suis resté un long moment pour me reposer. Puis jai pris un taxi pour la ville ou je me suis promené pendant plus dune heure avant de rejoindre notre maison.
Deux autres heures sont encore passées avant que ma femme rentre au bercail, avec quelques achats, et bien entendu, le visage rayonnant de bonheur. Elle a du se faire baiser et sodomiser pendant au moins deux heures avant daller rapidement au souk pour acheter quelques effets, pour lexcuse. Et cest ainsi que ma femme a trouvé un amant pour se faire plaisir chaque mardi.
Bien entendu, je continuais à baiser et sodomiser ma femme chaque fois que je le désirais, comme dhabitude mais elle nétait plus comme avant, insatisfaite et lattitude crispée. Maintenant, au contraire elle était joyeuse et montrait toujours son plaisir avec moi en attendait son mardi pour aller séclater avec son amant. Ses excuses de départs seule vers le souk sont parfois remplacées par des fausses visites à ses parents ou ses amies et je navait jamais refusé ou commenté ces sorties que je savais sexuelles. Maintenant elle allait chez son amant, même sans les mardis, seulement lorsque sa chatte ou sa terma la démangeait. Moi, je ne lespionnais plus mais jai trouvé une manière de mexciter sur elle.
En effet, je me suis fait le plaisir, quelques fois, de la baiser le jour même de son rendez-vous sexuel, juste à son retour à la maison, avant même quelle ne se douche. Prétextant une folle envie sexuelle de baise ou de sodomie, je la forçais à accepter ma bite immédiatement. En réalité, chaque fois quelle revenait de son amant et que je savais que sa chatte et sa terma étaient encore chaudes et excitées, même pleines de sperme et dodeur du mâle, jétais réellement excité et ma bite bandait à me faire mal.
Ma femme, elle-même, et malgré les saillies quelle a du avoir avec son amant, trouvait que ma bite était beaucoup plus grosse, gonflée et dure que les autres fois et je constatais que notre prestation lui donnait autant de plaisir et de jouissances quà moi. A tel point, que cest devenu une habitude, une tradition. A chacun de son retour de cgez son amant, nous faisions lamour tout de suite par devant et pa derrière et jétais heureux des prouesses de ma bite.
Ma femme a du comprendre que sa chatte et sa terma, échaudées et lustrées par son amant, mexcitaient mieux quavant. Moi je savais que cétait le fait quelle venait de se faire baiser et sodomiser à fond par un autre homme et aussi parce quelle était encore rempli de son sperme et de son odeur. Rien quà y penser me fait bander. Malgré linédite situation de ces occasions, ma femme et moi navons pas voulu chercher à commenter ni à comprendre mais à cueillir seulement notre relation sexuelle formidable du moment.
Joserais même penser que ma femme augmentait et variait ses visites à son amant pour quau retour nous ayons cette relation étourdissante de jouissances. On était à la limite de la complicité et de laveu réciproque. Et cela a duré tant que ma femme avait son amant sous la main. En effet, cela a duré pendant quelques mois et puis un jour, ma femme a arrêté ses rendez vous. Jai pensé que lhomme, après sêtre rassasié de sa chatte et surtout de sa belle terma, sest lassé de ma femme, ce qui arrive souvent aux hommes. Ainsi, il a décidé darrêter sa relation avec ma femme.
Hélas, cela a perturbé et même arrêté notre relation sexuelle spéciale et notre routine est revenue pour nous freiner. Je nai fait aucun commentaire certes, mais jai constaté que ma femme, malgré mes efforts, redevenait crispée et insatisfaite après nos joutes sexuelles. Il fallait que je trouve un autre amant pour assouvir les besoins de sa chatte et de sa terma. Peut-être quon devrait réutiliser la drague du bus du souk. Je vais y réfléchir, à bientôt.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!